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  • FAITS DIVERS: UN HOMME EN PROVENANCE DE MOANDA RATE SON ATTERRISSAGE MYSTIQUE À LAMBARÉRÉ

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    Les faits se déroulent dans la nuit du 18 mars 2022. D’après les témoignages des habitants, un homme d’une soixantaine d’années aurait confondu le village « tout-reste petit paris » à la piste d’atterrissage habituelle.

    Il aurait entrepris un voyage mystique, pour une destination inconnue. sauf qu’il aurait raté son atterrissage à lambaréné dans la province du moyenne ogooué.

    Les habitants du village « tout-reste petit paris », dans le 2e arrondissement de la commune de Lambaréné à 7 km de la ville, sur le tronçon Lambaréné-Fougamou sont étonnés par la présence d’un mystérieux homme dénommé Jean Romuald Mavoungou et dont ils ignorent l’existence.

    En effet, le chef du village tout-reste petit paris, Daniel Malouana Koumba, reconnaît avoir entendu dans la nuit de vendredi à samedi des cris, un peu plus avec le stationnement des véhicules. Sans pour autant qu’il mette le nez dehors.

    A son réveille à 06 heures du matin, le chef constate la présence d’un individu allongé sur la route nationale, pour ce dernier l’homme sur la route était certainement mort , une fois proche il va s’apercevoir du contraire, mais va plutôt constater que l’homme est dans un état anormal.

    De ce fait, il a tenté de dialoguer avec l’inconnu, mais sans succès. C’est après lui avoir servi un repas que l’homme va retrouver l’usage de la parole.

    Ce n’est qu’à cet instant que l’individu cherchera à savoir où il se retrouve, c’est dans la discussion que les populations vont découvrir que l’homme est en provenance de la ville de Moanda dans la province du Haut Ogooué.

    La question de savoir comment il a fait pour se retrouver dans la province du Moyen-Ogooué notamment dans le village tout-reste petit paris, selon plusieurs sources l’homme aurait effectué un voyage mystique qui aurait malheureusement mal tourner .

    Le chef du village, par ailleurs bwitiste a dit avoir consulté ses esprits qui lui ont confirmé que l’homme mystérieux serait partie de Libreville, il aurait donc sans doute simplement manqué l’heure.

    Selon MediasPost, le voyageur serait toujours allongé au même endroit et aurait dévoilé son identité au chef du village, disant être originaire de la province de la Nyanga et aurait des enfants en France et à Libreville.

    Une histoire digne d’un film de science-fiction.

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  • Les prix alimentaires ont augmenté de 3 % en avril : pâtes, huile, farine, steaks hachés, café, beurre, poulet, semoule

    Par Laurence Girard | Source : Le Monde 

    Publié le 03 mai 2022 à 09h00

    L’inflation est particulièrement marquée pour les pâtes (+ 15,3 %), les steaks hachés surgelés (+ 11,3 %), ou les huiles (+ 10 %), selon l’institut IRI.

     

    La valse des étiquettes s’est accélérée, en avril, dans les supermarchés. Pâtes, huile, farine, steaks hachés, café, beurre, poulet, semoule… La liste des produits dont les prix flambent ne cesse de s’allonger. « L’inflation va crescendo. Elle a atteint, en moyenne, 3 % en avril sur les produits alimentaires, contre 1,73 % en mars », affirme Emily Mayer, de l’Institut de recherche et d’innovation (IRI), qui scrute les achats des consommateurs après leur passage en caisse des super et des hypermarchés.

    Selon les données publiées, mardi 3 mai, par l’IRI, les pâtes sont en tête des plus fortes hausses relevées en avril, avec un bond de 15,3 % des tarifs sur un an. Elles sont suivies de près par les steaks hachés surgelés, dont les prix ont augmenté de 11,3 %. La progression est quasi similaire pour la farine, quand elle atteint 10 % pour les huiles. Puis viennent le café (+ 8,2 %), la semoule (+ 7,5 %), le beurre (+ 5,4 %), la volaille (+ 4,7 %) et les œufs (+ 3,9 %). Dans ce contexte haussier, rares sont les produits alimentaires en déflation. L’IRI met toutefois en exergue le jambon blanc, dont le prix a baissé de 1,3 % sur cette période.

     

    Cette augmentation moyenne de 3 % des produits alimentaires est en ligne avec le résultat des négociations commerciales entre industriels et distributeurs, qui fixent les tarifs annuels des produits à marque nationale, achevées fin février. Les premiers effets se sont fait sentir en mars, avant de s’accentuer en avril. Hélas, le consommateur n’a pas fini de manger son pain noir.

    Un plan de résilience

    La guerre en Ukraine a amplifié un phénomène déjà prégnant de progression généralisée des cours du pétrole, du gaz, des céréales, des huiles, du transport, des emballages… A cela s’ajoute, pour la France, une épizootie de grippe aviaire d’une ampleur inégalée, qui réduit le nombre de volailles et laisser présager une baisse sensible de la production de poulets et d’œufs.

     

    Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé un plan de résilience, qui prévoit notamment la réouverture des négociations commerciales. Il répondait à une demande pressante des industriels, qui exigent de nouvelles revalorisations tarifaires. Ainsi, la filière volaille réclame une nouvelle hausse de 20 % sur le poulet et le Groupe Avril, leader de la commercialisation des huiles, demande 10 % de plus.

     

    Industriels et distributeurs se sont donc remis autour de la table des négociations, mi-mars, pour réviser leurs contrats commerciaux. Mais, fin avril, la tension est remontée d’un cran. La Coopération agricole et l’Association nationale des industries alimentaires ont publié un communiqué commun, jeudi 28 avril, pour dénoncer l’attitude de certaines enseignes qui, selon leurs dires, malgré la signature d’une charte d’engagement, jouent la montre ou ignorent leurs demandes. « Les enseignes attendent de voir l’évolution du comportement d’achat des consommateurs face à cette inflation des prix », estime Mme Mayer. D’ores et déjà, elle table « sur un nouveau palier de hausse des produits alimentaires de 5 % au début de l’été ».

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  • Le nombre de morts du covid-19 réévalué à la hausse par l'Organisation Mondiale de la Santé

    Par RCI Martinique avec AFP 05/05/2022 - 12:12
     

    L'OMS a publié une nouvelle estimation de l'impact de la pandémie de covid-19 jusqu'en décembre 2021.

     

    La pandémie de Covid-19 était responsable de la mort de 13 à 17 millions de personnes à la fin 2021, soit beaucoup plus que le nombre de morts officiellement recensés dans le monde, selon une nouvelle estimation de l'OMS, qui suscite déjà la polémique.

    Ces chiffres très attendus donnent une idée plus réaliste des effets dévastateurs de la pire pandémie depuis un siècle qui, selon ces données, a déjà tué 1 humain sur 500 et continue de faire des milliers de morts chaque semaine.

    "Le bilan total associé directement ou indirectement avec la pandémie de Covid-19 entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2021 est d'environ 14,9 millions de morts (une fourchette de 13,3 à 16,6 millions)", a révélé l'organisation jeudi.

    Depuis le début de la pandémie, les chiffres officiels des pays membres compilés par l'OMS arrivent à un total de 5,4 millions de morts sur la même période, mais l'OMS a averti de longue date que cette statistique sous-estimait la réalité.

    L'OMS a déclaré que la plupart des décès excédentaires (84%) étaient concentrés en Asie du Sud-Est, qui dans le découpage régional de l'OMS comprend l'Inde, en Europe (qui comprend la Russie et d'autres pays de l'ex-URSS) et dans les Amériques. 

    Quelque 10 pays représentaient à eux seuls 68% du total de la surmortalité, ce sont dans l'ordre décroissant le Brésil, l'Egypte, l'Inde -qui conteste avec force les chiffres de l'OMS bien plus élevés que ses chiffres officiels-, l'Indonésie, le Mexique, le Pérou, la Russie, l'Afrique du sud, la Turquie et les Etats-Unis.

    - Comptes -

    "Ces données, qui font réfléchir, soulignent non seulement l'impact de la pandémie, mais aussi la nécessité pour tous les pays d'investir dans des systèmes de santé plus résilients capables de soutenir les services de santé, essentiels pendant les crises, y compris des systèmes d'information sanitaire plus solides", a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

    De fait, les chiffres publiés jeudi par l'OMS souffrent de trous dans les statistiques, la collectes de données étant parfois parcellaire voire totalement inexistante pour certains pays. Les fourchettes données vont parfois du simple au double.

    L'Organisation estime ainsi que 6 décès sur 10 ne sont pas enregistrées au niveau mondial.

    La surmortalité est calculée en faisant la différence entre le nombre de décès réels et le nombre de décès estimés en l'absence de pandémie, en se basant sur des statistiques existantes.

    La surmortalité comporte aussi bien les décès directement provoqués la maladie que ceux qui l'ont été indirectement.

    Les causes indirectes peuvent être notamment dues à des structures de santé surchargées et forcées par exemple de retarder des procédures chirurgicales ou des séances de chimiothérapie pour des malades du cancer.

    Parfois, les confinements ont aussi évité des morts comme pour les accidents de la circulation.

    - Comprendre -

    "Mesurer la surmortalité est un composant essentiel pour comprendre l'impact de la pandémie", a expliqué Samira Asma, en charge du dossier à l'OMS.

    Les informations plus fiables permettent aux décideurs de mieux préparer le terrain pour limiter l'impact de futures crises.

    "Ces nouvelles estimations sont basées sur les meilleures données disponibles produites à l'aide d'une solide méthodologie et d'une approche complètement transparente", a-t-elle assuré.

    C'est cette méthodologie que conteste l'Inde pour qui le Covid a fait 525.000 morts au total. Les chiffres publiés par l'OMS jeudi sont 9 fois plus élevés autour de 4,7 millions. Mi-avril le gouvernement indien avait critiqué "une approche et des modèles indifférenciés qui peuvent fonctionner pour des pays plus petits comme la Tunisie mais ne sont pas applicables à l'Inde et sa population de 1,3 milliard d'habitants".

    Le sujet est extrêmement sensible en raison des répercussions politiques, ces chiffres étant indicateurs de la qualité de la gestion de la crise par les autorités.

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  • François Fillon condamné en appel à un an de prison ferme dans l'affaire des emplois fictifs

    Une nouvelle condamnation, mais plus légère qu'en première instance: l'ex-Premier ministre François Fillon s'est vu infliger lundi à Paris quatre ans de prison dont un an ferme dans l'affaire des emplois fictifs de son épouse Penelope, une décision qu'il va contester en cassation.

    Plus de cinq ans après l'explosion du "Penelopegate" en pleine campagne présidentielle, l'ancien candidat de la droite en 2017 a été condamné à nouveau dans le dossier qui avait plombé sa course à l'Elysée et signé la fin de sa carrière politique.

    La peine de prison de l'ex-locataire de Matignon entre 2007 et 2012, aujourd'hui âgé de 68 ans, a été assortie de 375.000 euros d'amende et de dix ans d'inéligibilité.

     
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    Sa femme a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et 375.000 euros d'amende, son ancien suppléant Marc Joulaud à trois ans de prison avec sursis. Des peines d'inéligibilité de deux et cinq ans ont en outre été prononcées à leur encontre.

    Les trois prévenus ont enfin été condamnés à verser environ 800.000 euros à l'Assemblée nationale, partie civile.

    Absents lors du prononcé de la décision, le couple et l'ancien suppléant vont se pourvoir en cassation, ce qui suspend les sanctions pénales.

    Le paiement des dommages et intérêts, en revanche, n'est pas gelé et pourrait être réclamé immédiatement par la chambre basse du Parlement.

    - 925.000 euros "détournés" -

    Pour les avocats de la défense, si la cour d'appel a blanchi le couple concernant le premier contrat d'assistante parlementaire de Penelope Fillon entre 1998 à 2002, "elle n'a pas tiré les conséquences de ses propres constatations sur les preuves apportées de la réalité du travail accompli par Mme Fillon" pour les deux autres contrats.

    Dans son arrêt, la juridiction a condamné le couple Fillon pour avoir détourné un total de 924.989 euros de fonds publics et de sommes venant de la Revue des deux Mondes (RDDM), détenue par Marc Ladreit de Lacharrière, ami de François Fillon.

    Le caractère fictif des activités de Mme Fillon auprès de Marc Joulaud, qui avait remplacé M. Fillon comme député de la Sarthe entre 2002 et 2007, a été confirmé (679.989 euros bruts) ainsi que celles de la Franco-Galloise auprès de son mari, en 2012-2013 (110.000 euros bruts).

    De même, la justice a de nouveau considéré que le contrat de "conseillère littéraire" de Penelope Fillon à la RDDM, sur la même période 2012-2013, n'avait pas de consistance (135.000 euros bruts).

    Ces sanctions pour détournement de fonds publics, complicité d'abus de biens sociaux et recel de ces deux délits notamment, sont plus légères que celles prononcées en première instance, le 29 juin 2020.

    François Fillon avait alors été condamné à cinq ans de prison, dont deux ans ferme, et sa femme avait écopé de trois ans de prison avec sursis, les peines d'amende et d'inéligibilité étant identiques. Marc Joulaud avait lui été condamné, en sus, à une amende de 20.000 euros.

    - Relaxe partielle -

    Contrairement au tribunal, la cour d'appel a en effet relaxé les époux sur le premier des trois contrats litigieux comme assistante parlementaire de Penelope Fillon auprès de son époux, "au bénéfice du doute".

    Au-delà d'un allègement des peines, cette appréciation entraîne une baisse du montant des dommages et intérêts pour l'Assemblée nationale - qui s'était vu octroyer environ un million d'euros en première instance.

    La cour a en outre relaxé le couple dans le volet des emplois des deux aînés de leurs enfants en 2006-2007, alors que François Fillon était sénateur.

    A la barre lors du procès en novembre 2021, les époux avaient maintenu la même défense, identique depuis l'origine de cette affaire: le travail de Mme Fillon, "sur le terrain" dans la Sarthe, était certes "immatériel", mais bien "réel".

    La cour d'appel a quasiment suivi les réquisitions du parquet général. Le ministère public avait en revanche considéré que les trois contrats étaient fictifs, parlant d'activités "impalpables" voire "évanescentes" - il peut aussi se pourvoir en cassation.

    Retiré de la vie politique, M. Fillon a annoncé fin février, après l'invasion russe en Ukraine, démissionner de ses mandats aux conseils d'administration du géant de la pétrochimie Sibur et de Zarubezhneft (hydrocarbures).

     

    Auteur(s): Par Anne LEC'HVIEN - Paris (AFP)

     

    Source : FranceSoir

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  • Inondations : une procédure accélérée pour la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle

    À l'issue du conseil des ministres, le porte parole du gouvernement a assuré aux Guadeloupéens la solidarité de l'Etat et le mise en œuvre d'une procédure accélérée pour la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle.

     

    Bientôt un arrêté de catastrophe naturelle pour la Guadeloupe suite aux intempéries du week-end dernier. C'est ce qu'a confirmé le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, ce matin à l'issue du conseil des ministres.

    L'exécutif, qui a fait part de sa "solidarité avec les guadeloupéens touchés par les fortes inondations", assure être mobilisé "aux côtés des collectivités pour trouver des solutions".

    La procédure accéléré pour la reconnaissance de catastrophe naturelle est engagée et la commission doit se réunir le 10 mai prochain.

    "D'abord, je veux dire toute ma solidarité et celle du gouvernement avec les Guadeloupéens qui ont été touchés effectivement par ces très fortes inondations", a déclaré Gabriel Attal à la presse.

    "Nous sommes évidemment mobilisés aux côtés des collectivités locales pour trouver des solutions. Nous avons notamment engagé une procédure accélérée pour la reconnaissance des catastrophes naturelles. La commission se réunira le 10 mai et les communes peuvent déposer leur dossier d'ici le 5 mai", a-t-il ajouté.

     

    Source : RCI Guadeloupe

     

     

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